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INTERVIEW - Le volleyeur international débarque à Paris pour jouer les play-offs... Avec le Paris-Volley, Hubert Henno a déjà tout gagné. Le championnat, la Coupe et même la Ligue des champions, en 2001. Sept ans après avoir quitté la capitale, le libero qui vient de terminer sa saison avec Forli, en Italie, est de retour en tant que joker médical, pour pallier la blessure au dos du Brésilien Marquinho. Un renfort de choix pour Paris, juste avant d'aborder son premier match de play-off, mercredi soir à Beauvais.
Sept ans après avoir quitté Paris, vous êtes de retour. Comment cela s’est fait?
Les dirigeants m’ont appelé, ils m’ont demandé si ça m’intéressait de venir comme joker médical. J’étais disponible et je suis arrivé fin mars. En Italie, je devais m’attendre à une longue période d’inactivité. Alors j’ai accepté. C’est un vrai choix sportif.
L’équipe reste sur quatre défaites consécutives, ce n’est pas l’idéal pour attaquer les play-off?
Oui, mais tout le monde a bien repris. Je n’ai pas vu l’équipe jouer pendant la saison, mais je sais qu’ils ont quand même été très réguliers. Finir 2e de la saison régulière, ce n’est pas rien. Les play-offs, c’est un autre combat. Un autre championnat qui repart, où chaque équipe a sa chance. Le plus important, c’est d’être prêt à souffrir à chaque match. L’équipe à battre, c’est Paris. Il faut s’attendre à jouer des équipes avec des joueurs morts de faim.
Quelle équipe craignez-vous le plus?
J’ai vu Tours-Poitiers. C’était pas mal du tout. Poitiers me semble plus armé que Paris techniquement, mais aussi au niveau de la confiance. Il faut aussi se méfier de Cannes qui a souffert dans la saison et qui va jouer à fond.
Vous vous sentez particulièrement attendu?
Franchement non. J’arrive ici pour suppléer la blessure de Marquinho. Je suis un peu là par défaut. C’est difficile de remplacer quelqu’un dans ces conditions. Le groupe va jouer pour lui maintenant. Il était présent pendant toute la saison et là, il va manquer les meilleurs matchs.
La saison prochaine, vous envisagez de rester à Paris?
Non, non, je resterai à l’étranger. Plutôt en Italie. Là, j’avais juste l’opportunité d’aider un bon club. C’était Paris ou rien.
Sept ans après avoir quitté Paris, vous êtes de retour. Comment cela s’est fait?
Les dirigeants m’ont appelé, ils m’ont demandé si ça m’intéressait de venir comme joker médical. J’étais disponible et je suis arrivé fin mars. En Italie, je devais m’attendre à une longue période d’inactivité. Alors j’ai accepté. C’est un vrai choix sportif.
L’équipe reste sur quatre défaites consécutives, ce n’est pas l’idéal pour attaquer les play-off?
Oui, mais tout le monde a bien repris. Je n’ai pas vu l’équipe jouer pendant la saison, mais je sais qu’ils ont quand même été très réguliers. Finir 2e de la saison régulière, ce n’est pas rien. Les play-offs, c’est un autre combat. Un autre championnat qui repart, où chaque équipe a sa chance. Le plus important, c’est d’être prêt à souffrir à chaque match. L’équipe à battre, c’est Paris. Il faut s’attendre à jouer des équipes avec des joueurs morts de faim.
Quelle équipe craignez-vous le plus?
J’ai vu Tours-Poitiers. C’était pas mal du tout. Poitiers me semble plus armé que Paris techniquement, mais aussi au niveau de la confiance. Il faut aussi se méfier de Cannes qui a souffert dans la saison et qui va jouer à fond.
Vous vous sentez particulièrement attendu?
Franchement non. J’arrive ici pour suppléer la blessure de Marquinho. Je suis un peu là par défaut. C’est difficile de remplacer quelqu’un dans ces conditions. Le groupe va jouer pour lui maintenant. Il était présent pendant toute la saison et là, il va manquer les meilleurs matchs.
La saison prochaine, vous envisagez de rester à Paris?
Non, non, je resterai à l’étranger. Plutôt en Italie. Là, j’avais juste l’opportunité d’aider un bon club. C’était Paris ou rien.
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